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Le journal d'Howard
Chapitre 11 :
Rapport Psychiatrique
11 : Rapport Psychiatrique
Rapport psychiatrique n°1428 Docteur Philipe Gaillard, psychiatre à Ravenel, Mirecourt concernant le cas de monsieur Howard Perrin, né le 12/06/1975 à Epinal. Le cas de monsieur Howard Perrin est l'un des plus complexe qui m'ai été donné d'étudier. Le texte accompagnant ce rapport est le journal intime du patient avant qu'il ne soit arrêté pour meurtre et envoyé en hôpital psychiatrique. Les descriptions de ces violentes hallucinations qui vont croissante avec le temps démontre de l'ampleur inquiétante avec laquelle sa maladie a dégénéré. Sans nul doute son renvoi de la faculté de lettre de Nancy il y a environ un an à été un important déclencheur de sa maladie, et c'est pour cela que j'ai décidé de joindre son journal intime à partir de ce moment (je n'ai, bien évidemment pas intégrer tout le journal du patient, seul les passages relatant sa santé mental sont présent). Le plus étrange dans le cas de monsieur Perrin est qu'il est, sans aucun doute atteint de schizophrénie seulement, dans la plupart des cas cette maladie se déclenche quand la personne est âgée d'une vingtaine d'année environ, hors a cet époque le patient était âgé de 39 ans, fait incroyablement rare. Autre fais étrange, les visions semblent beaucoup plus violente quand le patient est en phase de recherche de travail, et l'acte criminelle à été commis alors que celui-ci était sur le point de trouver un emploi. De plus, la rapidité de la maladie ainsi que l'extrême violence des visons me laisse septique quand au fait que la maladie soit la seul responsable. Il me sembla pas perturber par le fait de se retrouver enfermé, car la dernière partie de sont journal a été rédigé dans cet hôpital, comme si il était chez lui. Je pense qu'il existe trois possibilités pour comprendre se dont souffre réellement monsieur Perrin. Je vais lister ci-dessous ces trois possibilités en commençant par celle qui me semble la plus probable et finir par celle qui me semble le moins probable : -Il est de mon avis que le patient ai, en une tumeur au cerveaux qui serait à l'origine de la dégénérescence anormal des visons et du comportement violent dont il souffre, j'ai donc prévu de l'envoyé a l'ensemble hospitalier d'Epinal afin qu'il passe un scanner qui permettra de valider ou d'éliminer cette possibilité. -Il est également possible que monsieur Perrin souffre d'une ou de plusieurs autres maladie en plus de la schizophrénie, comme un trouble de la personnalité paranoïde ou même un syndrome cérébral organique. -La troisième possibilité et celle qui me semble la moins probable mais qui ne doit tout de même pas être écarté est que je suis peut-être en présence d'une toute nouvelle maladie, dont, si c'est le cas aucun traitement n'est possible. Dans le meilleur des trois cas, il faut espéré pour monsieur Perrin qu'il s'agit de la première des possibilités car dans ce cas, la tumeur pourrait être opérable et, si c'est le cas cela guérira le patient d'une grande partie de ces symptôme et pourrait peut-être lui permettre de vivre normalement et de retrouver la liberté. Rapport psychiatrique n°1428 Docteur Philipe Gaillard, psychiatre à Ravenel, Mirecourt concernant le cas de monsieur Howard Perrin, né le 12/06/1975 à Epinal. Le cas de monsieur Howard Perrin est l'un des plus complexe qui m'ai été donné d'étudier. Le texte accompagnant ce rapport est le journal intime du patient avant qu'il ne soit arrêté pour meurtre et envoyé en hôpital psychiatrique. Les descriptions de ces violentes hallucinations qui vont croissante avec le temps démontre de l'ampleur inquiétante avec laquelle sa maladie a dégénéré. Sans nul doute son renvoi de la faculté de lettre de Nancy il y a environ un an à été un important déclencheur de sa maladie, et c'est pour cela que j'ai décidé de joindre son journal intime à partir de ce moment (je n'ai, bien évidemment pas intégrer tout le journal du patient, seul les passages relatant sa santé mental sont présent). Le plus étrange dans le cas de monsieur Perrin est qu'il est, sans aucun doute atteint de schizophrénie seulement, dans la plupart des cas cette maladie se déclenche quand la personne est âgée d'une vingtaine d'année environ, hors a cet époque le patient était âgé de 39 ans, fait incroyablement rare. Autre fais étrange, les visions semblent beaucoup plus violente quand le patient est en phase de recherche de travail, et l'acte criminelle à été commis alors que celui-ci était sur le point de trouver un emploi. De plus, la rapidité de la maladie ainsi que l'extrême violence des visons me laisse septique quand au fait que la maladie soit la seul responsable. Il me sembla pas perturber par le fait de se retrouver enfermé, car la dernière partie de sont journal a été rédigé dans cet hôpital, comme si il était chez lui. Je pense qu'il existe trois possibilités pour comprendre se dont souffre réellement monsieur Perrin. Je vais lister ci-dessous ces trois possibilités en commençant par celle qui me semble la plus probable et finir par celle qui me semble le moins probable : -Il est de mon avis que le patient ai, en une tumeur au cerveaux qui serait à l'origine de la dégénérescence anormal des visons et du comportement violent dont il souffre, j'ai donc prévu de l'envoyé a l'ensemble hospitalier d'Epinal afin qu'il passe un scanner qui permettra de valider ou d'éliminer cette possibilité. -Il est également possible que monsieur Perrin souffre d'une ou de plusieurs autres maladie en plus de la schizophrénie, comme un trouble de la personnalité paranoïde ou même un syndrome cérébral organique. -La troisième possibilité et celle qui me semble la moins probable mais qui ne doit tout de même pas être écarté est que je suis peut-être en présence d'une toute nouvelle maladie, dont, si c'est le cas aucun traitement n'est possible. Dans le meilleur des trois cas, il faut espéré pour monsieur Perrin qu'il s'agit de la première des possibilités car dans ce cas, la tumeur pourrait être opérable et, si c'est le cas cela guérira le patient d'une grande partie de ces symptôme et pourrait peut-être lui permettre de vivre normalement et de retrouver la liberté.