e-Storya : pour raconter des histoires !
menu
info
Auteur : Nat88
album Pour ce chapitre :
Nombre de visiteur : 1812
Nombre de "J'Aime" : 0

memo Autres chapitres du livre :
star Introduction
star Mardi 2 septembre 2014
star Mardi 9 septembre
star Dimanche 14 septembre
star Mercredi 17 septembre
star Mardi 14 octobre
star Mercredi 22 octobre
star Novembre
star Mardi 13 janvier 2015
view Janvier
star Rapport Psychiatrique

Version complète de l'histoire

feed Cet auteur écrit de la poésie :
external Poème Amour Impossible
external Poème Horreur de la Société
external Poème Infernum
external Poème L’Organiste
external Poème Le Temps
Nouvelle de

Le journal d'Howard

Chapitre 10 :
Janvier


Le journal d'Howard

10 : Janvier

Je ne sais même plus quel jours on est, je suis trop sous le choc pour regarder... J'ai fait un cauchemar incroyablement réaliste, je me demande même si il ne s'agissait pas d'un rêve lucide. Mais non, ce n'est pas ça un rêve lucide... Mais le pire c'est que dans ce cauchemar si réaliste, j'ai commis un geste affreux, j'ai tué un homme, et j'ai peur, je suis paniqué, comme si cela c'étais réellement passé, peut-être que le fait de l'écrire me fera me sentir mieux ? Voilà cet horrible cauchemar : " Je me promenais dans la rue comme souvent, la rue des minimes, à Epinal célèbre pour sa statue des deux doigts. Je me promenais donc, et je vît, dans la foule en face de moi un homme qui ressemblait énormément aux directeur de la faculté qui m'avait renvoyé. Il semblait m'épier, d'un regard plein de haine. Sans doute étais ce le fruit de mon imagination, car je détestait cette personne. La haine qui venait de sont regard semblait s'infiltrer en moi, pendant qu'une voix me disait "Tue le, ce salaud qui ta renvoyer, c'est tout ce qu'il mérite, ce n'est qu'une ordure qui ne pense qu'a l'argent, il le mérite, tue le ! Tue le ! Tue le...". La voix se faisait de plus en plus forte, l'envie aussi, l'envie de le tuer, la voix a raison, c'est tout ce qu'il mérite ce salaud... J'ai un couteau dans ma poche, il ne me quitte jamais, depuis mon licenciement je me sent un peu paranoïaque . Sortant mon couteau de cuisine de ma poche, je me lance vers l'indésirable et je le plante, une fois, deux fois... Il me supplie d'arrêter, appelle a l'aide mais une folie c'était emparé de moi, je ne pouvait m'arrêter..."